En avril, la musique ne tient pas qu’à un fil…

A l’instar des fleurs qui éclosent au printemps, de nouveaux singles et clips ont fait leur apparition ce mois-ci. Découvrez les dernières sorties du mois d’avril !

Marlene Larsen : Entre Terre Française et Rêves Anglais, une Voix Indie Rock Qui Touche l’Âme

Née d’un double héritage culturel, avec un pied ancré dans la terre française et l’autre flottant dans les nuages anglais, Marlene Larsen est avant tout une artiste captivante. Songwriter dans l’âme, elle se révèle une conteuse d’histoires sans fard, partageant ses vérités à travers une voix singulière et cristalline, une mélodie qui ondule et frappe toujours juste au cœur.

Armée d’une honnêteté désarmante et d’une bonne dose d’auto-dérision, Marlene Larsen donne corps à cette petite voix intérieure qui nous taraude, cette anxiété familière qui résonne au plus profond de nos êtres. Ses chansons deviennent le porte-parole de nos émotions les plus intimes, nos doutes et nos espoirs mis en musique avec une authenticité touchante.

Musicalement, Marlene Larsen évolue dans un univers soft rock indé teinté d’une douce nostalgie des années 90. Ses mélodies rappellent cette époque où les guitares mélancoliques et les rythmes apaisants berçaient nos introspections. Écouter sa musique, c’est un peu comme recevoir l’appel réconfortant de sa meilleure amie après une séance révélatrice chez le psychologue. On y trouve l’écho de nos propres vulnérabilités, mais aussi une forme de catharsis douce et réconfortante.

Avec sa plume sincère et sa voix envoûtante, Marlene Larsen s’impose comme une artiste à suivre de près, capable de transformer nos tourments en mélodies cathartiques et de nous rappeler la beauté fragile de nos intériorités.

Herman Dune annonce un nouvel album avec le single épique « Odysseús »

Le projet musical d’auteur-compositeur franco-suédois David Ivar, Herman Dune, est de retour avec un nouveau disque dont le thème central est la chanson poignante « Odysseús ». Ce titre, qui n’est autre que le premier morceau écrit et enregistré pour ce nouvel opus attendu en juin 2025, donne également son nom à l’album à venir.

« Odysseús » se révèle être une folk song épique, une véritable odyssée amoureuse baignée dans des accords mineurs. Les arrangements héroïques qui l’habillent – avec la présence de violons et de chœurs – servent de bande-son à un récit poignant d’exil, de nostalgie, d’épreuves, de défis et de chagrin, le tout teinté de l’espoir de retrouver l’être aimé.

Pour ce nouveau projet, Herman Dune a de nouveau fait appel à David Garza à la production, un collaborateur de longue date connu pour son travail avec des artistes tels que Fiona Apple et Iron & Wine. L’enregistrement s’est déroulé en direct dans une pièce de Los Angeles, entouré de musiciens de renom tels que Sebastian Steinberg et Paul J. Cartwright, tous jouant sur des instruments acoustiques.

« Odysseús » offre un aperçu sonore et productif de l’album à venir. On y retrouve des chœurs féminins, une omniprésence des cordes, notamment le violon, et des sonorités subtilement empruntées à la country, à l’americana, ainsi qu’aux musiques traditionnelles juives et hispaniques. Le résultat est un single à la fois délicat et épique.

Un clip vidéo accompagne la sortie de ce single. David Ivar explique le choix du lieu de tournage : « Chaque fois que je marche dans le désert de Joshua Tree près de Yucca Valley, non loin de Palm Springs, je ressens cette électricité et la puissance de la vraie solitude. Un silence chargé d’énergie, une majesté qui vous rend humble. Le désert fait naître des pensées profondes et des sentiments spirituels. Tourner la vidéo dans le désert m’a semblé parfait pour cette chanson, qui nous guide à travers l’aridité solitaire d’un homme vers l’oasis de son foyer. Alors, Mayon et moi avons pris la route du désert le jour de mon anniversaire et avons tourné la vidéo tôt le matin. »

Fondé à la fin des années 1990, Herman Dune est le projet musical de David Ivar, un auteur-compositeur franco-suédois basé à San Pedro, dans le port de Los Angeles, en Californie. Puisant ses influences dans la folk (Bob Dylan, Leonard Cohen), la country (Townes Van Zandt, John Prine) et l’indie-folk (Elliot Smith, Lucinda Williams, Silver Jews), David Ivar, né et élevé à Paris, a dû créer sa propre scène pour s’exprimer à une époque où chanter à la guitare acoustique en anglais sur les scènes parisiennes était considéré comme absurde.

Après une tournée marathon à guichets fermés en Europe en 2022 avec « The Portable Herman Dune », Herman Dune revient avec un nouvel album très attendu en 2025, produit par David Garza (Milk Carton Kids, Fiona Apple, Iron & Wine, John C. Reilly). Le single « Odysseús » est une promesse de la richesse et de la profondeur de ce nouveau chapitre musical.

Julia Jean-Baptiste dévoile « Le dernier trophée », un hymne vibrant de son nouvel album « Toujours Plaire »

Sorti le 4 avril dernier, « Le dernier trophée », le nouveau single de Julia Jean-Baptiste, est une véritable déclaration d’amour, un cri du cœur qui résonne avec une urgence poignante. Dans un monde souvent perçu comme allant à vau-l’eau, l’artiste affirme avec force sa soif d’humanité.

Porté par une fusion audacieuse de sonorités disco et rock palpable, ce titre se révèle être la parfaite synthèse de son nouvel album, après Cinérama (2023), qui naviguait entre fièvre bossa et émotion cinématographique, Julia Jean-Baptiste revient avec Toujours plaire, un disque où elle a exploré ses profondeurs et renoué avec ses influences premières : Bowie, la new wave, la cold-wave.

Toujours plaire se présente comme un album de réconciliation, de résilience et de renaissance, où Julia Jean-Baptiste se retrouve et s’affirme à 100%. Les dix chansons qui le composent ont été façonnées en étroite collaboration avec Jean Sylvain Le Gouic, son complice de toujours, qui a joué de la quasi-totalité des instruments et assuré la réalisation. L’ami Yuksek a apporté sa touche au mixage. Cependant, c’est Julia elle-même qui a tenu les rênes de ce projet de A à Z – une première pour l’artiste ! Avec « Le dernier trophée » comme porte-étendard, « Toujours Plaire » promet d’être un voyage musical introspectif et captivant.

Julia Jean-Baptiste sera en concert à La Maroquinerie le 14 mai !

Gloria : L’ascension d’une jeune artiste prometteuse

À seulement 18 ans, Gloria possède déjà un parcours artistique remarquable. Révélée au sein des groupes Kids United et Kids United Nouvelle Génération, elle a marqué toute une génération en vendant plus de 2,8 millions d’albums. Son talent l’a également conduite à incarner le rôle principal dans la célèbre comédie musicale Émilie Jolie.

Pendant six années enrichissantes, Gloria a foulé les plus grandes scènes internationales, mettant son talent au service de l’UNICEF en tant que marraine. Ces expériences lui ont permis d’acquérir une aisance scénique et vocale exceptionnelle, tout en tissant un lien fort avec une communauté de fans fidèles. Elle est devenue une figure inspirante pour de nombreuses jeunes filles, incarnant l’amie qui encourage à poursuivre ses rêves et à surmonter les difficultés grâce à son optimisme contagieux.

Aujourd’hui, Gloria entame un nouveau chapitre de sa carrière en solo. Forte de trois premiers singles elle dévoile une musique pop actuelle aux textes sincères, qui laisse présager un avenir brillant…

Mary Middlefield dévoile le poignant « Will You Read My Mind? »

La scène indie-rock bruisse à nouveau avec le retour de Mary Middlefield, figure montante dont la sensibilité à fleur de peau captive les auditeurs. Son tout nouveau single, intitulé « Will You Read My Mind? », offre une plongée obsédante au cœur de l’amour inexprimé, du désir silencieux et de l’espoir teinté de mélancolie d’être enfin compris.

Écrit et enregistré en novembre dernier au studio A.K.A de Lausanne, ce nouveau titre marque une évolution sonore significative pour Middlefield. Coproduit par l’artiste elle-même aux côtés de Gwen Buord et Arnaud Paolini, « Will You Read My Mind? » tisse une intimité lyrique avec des textures cinématographiques, des lignes de guitare palpitantes et une vulnérabilité lumineuse qui persiste bien après l’extinction des dernières notes.

L’artiste partage ses intentions derrière ce morceau : « Cette chanson parle de l’illusion de tomber amoureux, de la façon dont votre esprit imagine des scénarios infinis où tout s’aligne, où l’autre ressent exactement ce que vous ressentez. C’est ce mélange enivrant d’espoir et d’hésitation, vouloir être si proche mais ne jamais oser exprimer ses sentiments, comme si l’amour lui-même pouvait être déchiffré dans des regards furtifs et des pensées tues. »

Mary Middlefield confronte les vérités brutes et souvent inconfortables de l’existence à travers une indie-pop teintée de rock, trouvant dans la créativité une véritable catharsis. Violoniste de formation classique depuis l’âge de cinq ans, cette musicienne londonienne transgresse les frontières des genres en explorant tout le spectre de l’expérience émotionnelle. Elle s’adonne à des penchants dramatiques avec des arrangements de cordes et des paroles d’une franchise désarmante, construisant sa vision musicale avec une précision naturelle.

Depuis son premier album « Thank You Alexander » (2023) jusqu’à son deuxième projet acclamé par la critique, « Poetry (for the scorned and lonely) », Middlefield a récolé les éloges de publications telles que Wonderland, The Line of Best Fit et Clash, ainsi que de BBC Introducing et BBC Radio 6. Forte de performances remarquées au festival de Glastonbury, aux Jeux olympiques d’été de Paris 2024, au Montreux Jazz Festival et en première partie de The Beaches, Mary Middlefield continue sa progression impressionnante vers un troisième projet très attendu.

Jacques & Jacques : Quand Laurent Lamarca et Vincha défient le temps et l’Intelligence artificielle

L’histoire est simple, mais le résultat promet d’être détonant. Deux amis, deux artistes talentueux, Laurent Lamarca et Vincha, se sont lancé un défi pour le moins audacieux : écrire et enregistrer un album entier en une seule semaine. Pendant sept jours intenses, armés de leurs guitares, de leurs samplers et d’un humour visiblement communicatif, ils se sont métamorphosés en Jacques et Jacques, une version décomplexée et authentique d’eux-mêmes.

L’idée d’un album conçu en sept jours pourrait paraître folle, mais pour ces deux auteurs prolifiques, c’est un challenge qu’ils semblent avoir relevé avec brio. C’est dans un cadre pour le moins inspirant, un château près de Vichy, que les deux « Jacques » ont laissé libre cours à leur créativité. Loin de toute contrainte, ils se sont renvoyé les idées, se sont taquinés sur qui était le « meilleur », et sont même allés jusqu’à consulter (avec une pointe d’ironie) ChatGPT pour dénicher la recette d’un tube, donnant naissance à l’hilarant « L’amour à la machine ». Leurs échanges téléphoniques avec leur « Le Psy » ajoutent une couche d’absurdité savoureuse à cette aventure musicale hors du commun.

Leur alchimie créative se traduit par un mélange d’énergie rock et d’un phrasé hip hop actuel, un style que même une intelligence artificielle n’aurait pas renié. Le premier aperçu de cet album express nous est offert avec le clip de « L’amour à la machine », un single au refrain entêtant qui explore les thèmes universels de l’amour avec une fraîcheur et une liberté déconcertantes, le tout enrobé dans un flow hip-hop résolument moderne.

Avec Jacques & Jacques, Laurent Lamarca et Vincha nous invitent à une expérience musicale unique, un témoignage de leur complicité et de leur capacité à repousser les limites de la création. Restez connectés pour découvrir l’album né de ce défi audacieux !

Guiz de Tryo se lance en solo : un album optimiste et engagé

Après près de 30 ans au sein du groupe emblématique Tryo et une implication dans divers projets collectifs tels que Désert Rebel et Collectif 13, Guiz s’apprête à dévoiler un projet plus personnel : son premier album solo. Fort de son expérience de travail en groupe qu’il affectionne particulièrement, cette nouvelle aventure lui offre l’opportunité d’explorer des textes et des sonorités sans compromis.

Puisant son inspiration dans le quotidien, de sa famille à l’écologie en passant par ses lectures, l’amour et l’état actuel du monde, Guiz ressent une « nécessité » de retranscrire ses observations. Son premier album solo se veut porteur d’un message d’espoir. À travers ses textes, il affirme que « la vie est belle » et qu’il ne faut pas se décourager face aux difficultés. Il encourage au contraire à l’union, en valorisant les différences et les principes de liberté, d’égalité et de fraternité.

L’album se présente ainsi comme une œuvre pleine d’optimisme et de convictions, avec l’ambition de contribuer à un monde plus juste et respectueux de l’humain et de la nature. Un premier aperçu de cet univers est offert avec le clip de « Quoi de neuf dans Babylone ? », un morceau rock électro co-composé avec ses complices de Tryo, Martin Laumond et Manu Eveno. Un titre engagé est un appel à surmonter les épreuves de la vie, qu’il s’agisse de peines de cœur ou des folies du monde.

Figure engagée de la cause écologique depuis près de trois décennies, ayant signé des textes marquants de Tryo sur ce thème, Guiz franchit une nouvelle étape de son parcours artistique avec ce projet solo, tout en conservant l’esprit contestataire et humaniste qui le caractérise.

Roland Decembre : Le spleen et la sensualité d’une rupture dévoilés dans un premier album poignant

Promesse de mariage brisée, fiançailles rompues, séparation douloureuse… Roland Decembre n’a pas été épargné par les tourments amoureux. L’artiste se livre sans fard dans un premier album introspectif, marquant une entrée tardive mais sincère dans l’âge adulte. En onze chansons, il explore les méandres du chagrin avec une voix singulière, où le spleen se teinte d’une douce sensualité.

L’écoute de cet album ressemble à un défilement de scènes cinématographiques. Les paroles, d’une précision chirurgicale, esquissent des moments clés, des points de bascule émotionnels. Dans « Tout va bien », un extrait poignant illustre la dualité des sentiments au lendemain d’une rupture : « Je me réveille un matin / Je me dis que tout va bien / Je suis à deux doigts d’acheter des fleurs / Tu te réveilles ce matin / Tu me dis que tout va mal / Que tu fais ça à contrecoeur ».

Les titres de l’album agissent comme des flashs, des instantanés de cette histoire intime. « Une photo » retrouvée ravive la flamme d’un passé partagé. « 1 semaine » symbolise l’ultime tentative de réconciliation après quatre années de vie commune. « 23h30 » scelle la rupture, un point de non-retour. Et puis il y a « Reste encore un peu », cri du cœur lors d’une improbable rencontre avec l’ex-partenaire, une scène d’aveux tus dans un café suspendu hors du temps : « J’ai pas dit à mes amis qu’on s’était revu / Et je suis à peu près sûr que toi non plus / Dans ce café le temps est suspendu / Et t’es si belle dans cette nouvelle tenue ».

Au-delà des mots, Roland Decembre confie : « Dans un café, je m’entends lui déblatérer des choses inutiles. Je lui raconte ce que j’ai fait depuis qu’elle est partie : des histoires de vacances à moitié inventées, de boulot clairement exagérées… Mais il y a un tout autre discours qui ne se transmet que dans nos yeux. Là, dans nos regards, je lui dis de rester, que je la trouve belle, que je me sens nul sans elle, qu’il n’y a pas mieux que nous, que je l’aime évidemment. Mais ces mots ne sortent jamais. »

Derrière ce pseudonyme hivernal se cache une sensibilité à vif. Avec « Tout va bien », Roland Decembre signe un Extended Play bouleversant, naviguant entre souvenirs érodés d’un amour passé, élans de tendresse, rêves d’évasion et virées à toute allure. Son univers musical, qu’il décrit comme de la « chanson française autobiographique », puise dans la douceur mélancolique de Pomme, les mélodies pop de Voyou, la voix cristalline de November Ultra et un penchant pour l’absurde à la Philippe Katerine.

Roland Decembre offre une musique à la fois personnelle et universelle, où la simplicité et l’authenticité de son récit permettent à chacun de s’y reconnaître. Un premier album touchant, qui révèle un artiste à fleur de peau, capable de transformer les peines de cœur en une œuvre d’une beauté mélancolique.

Deluxe revient avec « Ça fait plaisir », un kaléidoscope musical et émotionnel

Après avoir marqué les esprits avec leur premier EP « Polishing Peanuts », les inimitables moustachus de Deluxe sont de retour. Leur septième album, intitulé « Ça fait plaisir », sort ce 25 avril 2025, promettant une nouvelle exploration sonore à l’image d’un groupe en constante évolution.

Ce nouvel opus se révèle être un véritable kaléidoscope émotionnel et musical où l’on y découvre une fugue classique pour saxophone se mêlant à des sonorités pop-rock entraînantes, tandis que des influences aussi variées que la variété brésilienne (avec Luizga sur le titre « Windows Open »), le punk nostalgique (« Where the f*ck is Jason? » en featuring avec Mr. J Medeiros) et le reggae hip-hop (« Caliente » avec Twan Tee) viennent surprendre et bousculer les codes.

Forts du succès de leur sixième album « MOUSTACHE GRACIAS » sorti en 2022, Deluxe prépare un retour sur scène cet été 2025. Le groupe, composé de Kaya, Kilo, Liliboy, Pépé, Pietre et Soubri, promet un nouveau show, de nouveaux costumes et des chorégraphies inédites. Ils ont même créé leur propre festival en 2024, le Super Moustache Festival, dans leur ville d’Aix-en-Provence.

Deluxe nous donne donc rendez-vous pour une performance musicale et visuelle encore plus folle. Et comme le dit si bien le groupe : « si ça t’a plu, reviens moustachu(e) ».

Tom Hickox revient avec un « Orchestre d’Histoires » riche et ambitieux

L’auteur-compositeur-interprète britannique Tom Hickox signe son grand retour après quatre ans d’absence avec un nouvel album captivant, « THE ORCHESTRA OF STORIES », attendu le 9 mai. Fort d’une reconnaissance critique établie dès son premier album « War, Peace and Diplomacy » (2014) et confirmée par le second, « Monsters In The Deep » (2017), salué pour sa « pop de chambre littéraire obsédante, poétique et complexe » dans le The Sunday Times, Hickox promet avec ce nouvel opus un riche éventail de récits humains mis en musique avec une ambition et une finesse remarquables.

Tout au long de « THE ORCHESTRA OF STORIES », Tom Hickox affine son talent de conteur avec une palette sonore cinématographique, chargée de drame et d’émotion. De « The Clairvoyant », une histoire aux accents mariachi d’un veuf dupé par une médium, à « The Failed Assassination of Fidel Castro », qui transforme une mission ratée de la CIA en une improbable histoire d’amour, chaque chanson révèle une vérité universelle qui persiste bien après la dernière note.

Tom Hickox apparaîtra également dans le documentaire « The Sinking Of The Lisbon Maru », où il partagera sa fascination pour ce tragique événement de la Seconde Guerre mondiale. Sa chanson éponyme, présente sur son premier album, utilise ce contexte historique pour raconter l’histoire poignante d’un vieil homme oublié.

Pour célébrer la sortie de « THE ORCHESTRA OF STORIES » le 9 mai, Tom Hickox se produira au Kings Place à Londres. Ce concert s’annonce comme un événement dynamique, avec une formation élargie et la participation de musiciens talentueux de l’orchestre. Les fans sont invités à découvrir en live la richesse et la profondeur de ce nouvel album prometteur.

Retrouvez les dernières sorties musicales du mois d’avril ici !

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