À la découverte… d’Andri

Avec des textes touchants et sans concession, Andri captive par par sa pop-soul teintée de mélancolie et de groove comme en témoigne la réédition de son premier EP « Good Morning », prévue pour le courant du mois de juin. Rencontre.

Depuis quand faites-vous de la musique ?

Je fais de la musique depuis très longtemps. J’ai commencé le violon à 6 ans, notamment pour un spectacle de danse irlandaise, Lord of the Dance, où le solo de violon m’a complètement chamboulée. Mais je chante depuis que je suis petite. Ma professeure de musique m’a présenté à une chorale pour enfants où nous arrangions des poèmes en chansons. J’ai ensuite exploré le jazz et l’improvisation au collège.

Quelles sont vos sources d’inspiration ?

Des artistes comme Nina Simone et Ella Fitzgerald m’ont beaucoup influencée. Plus jeune, j’écoutais aussi les artistes de Disney Channel comme Selena Gomez. Aujourd’hui, deux popstars m’inspirent particulièrement : Jorja Smith et Pomme.

Y a-t-il des particularités concernant les titres de cette réédition ?

Je propose une version alternative de “Petite”, avec des paroles différentes. Cette fois-ci, c’est un duo avec Vayli, qui est la co-autrice du titre et qui sort également son premier single le 25 avril. Il y aura également trois nouveaux titres, dont « La tête qui ailleurs » qui sort lui aussi, le 25 avril (rires).

Avez-vous des concerts prévus cette année ?

Je jouerai le 12 juillet au Melting Pot à Paris et le 23 août pour une association, Cœur de Loup. J’envoie régulièrement des dossiers de programmation afin de pouvoir défendre mon répertoire sur scène.

Good Morning est disponible sur toutes les plateformes de streaming. Sa réédition, qui comprendra trois nouveaux titres, sortira dans le courant du mois de juin.

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