Chacun fait ce qu’il lui plaît en mai, raison de plus pour écouter de la musique variée. Du single au clip en passant par les annonces d’EP, il y en aura là encore pour tout le monde !
Un nouveau single et un EP à venir pour Cenzo !

L’ancien académicien fait son grand retour avec un tout nouveau single, « Pas d’amour », et lève le voile sur une série de concerts très attendus. Fort du succès retentissant de son titre « Changer », qui a conquis les ondes et cumulé 1,5 million d’écoutes en streaming, se retrouvant même en playlist sur NRJ, Cenzo explore une nouvelle facette de son art avec cette chanson pop moderne plonge au cœur des dynamiques émotionnelles de sa génération, souvent tiraillée entre une soif de liberté et la complexité des relations amoureuses authentiques.
Mais les bonnes nouvelles ne s’arrêtent pas là ! Cenzo a également annoncé une série de dates dont son tout premier concert en tête d’affiche, qui se tiendra dans la mythique salle parisienne de La Boule Noire le 21 octobre prochain. Enfin, Cenzo a confirmé que ses deux derniers singles, « Changer » et « Pas d’amour », figureront en bonne place sur son tout premier EP, dont la sortie est prévue prochainement. De quoi patienter avec impatience en attendant de découvrir l’univers musical complet de Cenzo.
« Comme il est » : Quand la transe organique de TeKeMat rencontre les voix de Mariaa Siga et Guiz
Né de l’initiative audacieuse de TeKeMat, un trio malouin adepte d’une transe organique captivante, le projet « Comme il est » est une véritable alchimie musicale. Composé de Mat(thieu) Letournel au sousaphone, de Mat(thieu) Garreau à la batterie et du magicien du mix Mad Fab(rice) Bayard, TeKeMat a invité deux voix singulières à se joindre à leur univers sonore : la captivante Mariaa Siga et le chant politico-poétique de Guiz, figure emblématique de Tryo.
De cette fusion de sensibilités artistiques diverses émerge « Comme il est », un titre qui se veut une ode à la paix, à l’amour et au dialogue interculturel. La musique de TeKeMat, déjà porteuse d’un voyage sonore unique, prend une nouvelle dimension avec ce morceau ethno-techno au potentiel radiophonique évident, porté par la présence conjointe de Guiz et de l’artiste sénégalaise Mariaa Siga. Mais l’exploration musicale du trio ne s’arrête pas là. Leur morceau « Samba » nous invite à des mouvements plus légers et sautillants, traversés par des échos primitifs et entraînants.
Sparks dévoilent le single incisif ‘My Devotion’ avant la sortie de leur nouvel album ‘MAD!’
Le duo iconique Sparks, composé des frères Ron et Russell Mael, continue de surprendre et de stimuler la réflexion avec la sortie de leur nouveau single, intitulé ‘My Devotion’. Ce morceau précède leur 28ème album studio, ‘MAD!’, attendu avec impatience pour le 23 mai prochain.
Après le poignant ‘Drowned In A Sea Of Tears’, ‘My Devotion’ offre une mélodie pop riche en synthétiseurs majestueux, sublimée par des chœurs épiques et hymniques. Cependant, derrière cette façade sonore captivante se cache un regard ironique et perspicace sur le culte de la performance et le fanatisme obsessionnel qui gangrènent notre époque, qu’il s’agisse d’une nation, d’une marque (« Your country, god or flag… Your Harley, or your Jag ») ou même d’une équipe sportive (« Maybe you love football, though I’m puzzled why you would… »).
Ce nouveau titre confirme une fois de plus la capacité unique de Ron Mael à observer les travers de la société avec une acuité remarquable. Si le monde était un café peuplé de clients absurdes, Ron serait cet homme discret dans un coin, notant silencieusement les absurdités ambiantes pour les transformer en chansons interprétées avec brio par le falsetto inimitable de son frère Russell.
Ne manquez pas la sortie de ‘MAD!’ le 23 mai et retrouvez les Sparks en concert à la Salle Pleyel le 30 juin 2025 !
Matmatah reprend « Putain Putain » de TC Matic : une hymne à l’union dans un monde tourmenté
« Parce que l’union fait la force. » C’est avec cette devise puissante que le groupe emblématique Matmatah s’approprie « Putain Putain », le classique intemporel de TC Matic. Leur nouvelle version, dévoilée à travers un clip intense, résonne avec une force brute dans un monde plus que jamais en proie aux turbulences.
Cette reprise se mue en une véritable déclaration d’amour à un continent qui, malgré les épreuves, a su s’unir face aux barbaries. À travers le prisme bichromatique unique de Charlie Garnier, « Putain Putain » par Matmatah devient un véritable blockbuster à l’échelle quantique, où chaque note et chaque image vibrent d’une intensité rare.
Une intensité qui se concrétisera lors du concert de Matmatah l’ACCOR ARENA le samedi 11 octobre 2025 à l’occasion de leur trente ans de carrière.
Rares sont les groupes de rock qui franchissent le cap des trois décennies, et encore plus rares sont ceux qui célèbrent cet anniversaire dans l’arène mythique de Bercy. Après une tournée marathon de cent dates pour leur sixième album studio, « Miscellanées Bissextiles », qui les a menés des festivals aux Zéniths, Matmatah s’est enfermé dans son studio brestois pour préparer cet événement unique.
Alors, ne manquez pas ce rendez-vous incontournable de la rentrée qui s’annonce d’ores et déjà mémorable.
Herman Dune : Odysseús, un voyage épique au cœur de la vie de David Ivar
Après un quart de siècle de carrière riche et fort de quinze albums, Herman Dune vient d’annoncer la sortie de son nouvel opus : Odysseús. Cette collection de chansons inédites invite l’auditeur à un voyage introspectif et tumultueux à travers l’existence de David Ivar, l’âme créatrice derrière le projet musical.
Odysseús se présente comme une épopée sonore, capturant avec une intensité palpable l’exaltation de l’aventure et le poids des épreuves. L’album explore les profondeurs des sentiments humains les plus puissants : l’Amour, la Colère, la Foi et le Désenchantement. Ces chansons se dressent comme les récits héroïques de moments marquants dans la vie d’un homme, dévoilés à travers une sonorité à la fois novatrice et profondément ancrée dans l’essence d’Herman Dune. Ce nouvel album marque une ère fraîche et intemporelle pour la musique du groupe.
Eiffel signe son grand retour avec le single « Interstellar » et une tournée
Le groupe de rock français Eiffel a fait son grand retour sur la scène musicale avec la sortie de son nouveau single intitulé « Interstellar », disponible depuis le 30 avril 2025. Le titre est présenté comme un concept fort, tissant un récit poétique où un monstre post-scriptum et un dialogue amoureux se rencontrent dans un monde qui titube. Fidèle à son style, Eiffel aborde des questions existentielles profondes telles que la liberté, le progrès, l’amour-cristallisation, les fantasmes, les guerres de religion, la mystique, la science et la mort.
Eiffel annonce également une série de concerts avec plus de 20 dates incluant des passages très attendus à l’Olympia et au Cirque Royal de Bruxelles en 2026.
Restez connectés pour plus d’informations sur la sortie de l’album à venir et la billetterie de la tournée.
Lire également : Le nouvel album de Dope Lemons
Alexandrie dévoile le clip lumineux et entraînant de son nouveau single « Rockstar »
Alexandrie revient sur le devant de la scène avec son nouveau single, « Rockstar », un titre pop étonnamment solaire et entraînant, malgré une genèse douloureuse. Cette deuxième parution annonce un EP empreint d’authenticité et de résilience.
« Rockstar » est né d’une expérience personnelle difficile : le cambriolage où l’artiste a vu ses créations disparaître. Loin de se laisser abattre, Alexandrie a transformé ce drame en une mélodie entraînante qui donne furieusement envie de chanter à tue-tête.
Un clip surréaliste et plein d’humour
Le clip de « Rockstar », réalisé par Pablo Delpedro, nous plonge dans un univers singulier. On y suit un homme en costume, parcourant des paysages désolés à bord de son pickup, jumelles à la main. Ce survivaliste d’un nouveau genre semble à la recherche d’une proie bien particulière : une batterie ! Entre autodérision et esthétique cinématographique soignée, Alexandrie nous embarque dans une chasse inattendue et amusante.
Un artiste ancré dans le réel
Avec ce nouvel EP, Alexandrie continue d’explorer les thèmes qui lui sont chers : l’hommage aux lieux communs et aux figures locales. Son premier opus avait déjà marqué par sa simplicité et sa sincérité. Aujourd’hui, il revient avec une recette inchangée : un mélange de second degré et d’humilité, des ingrédients précieux dans un monde en perte de repères.
Dans cette nouvelle exploration musicale, Alexandrie met de côté la boîte à rythme au profit de la batterie, instrument central de cet EP. La basse et la guitare électrique viennent enrichir des sonorités toujours aussi pop, puisant leurs influences chez des artistes aussi variés qu’Étienne Daho, Malik Djoudi et l’indémodable Daniel Balavoine, son héros de toujours.
« Rockstar » et le clip qui l’accompagne sont une belle invitation à découvrir l’univers attachant et plein de surprises d’Alexandrie. Ne manquez pas de visionner le clip et de vous laisser emporter par cette énergie communicative !
« Seagulls », le cri de BOPS face aux mutations sociétales
Loin d’être une simple mélodie pop, « Seagulls » s’érige en une réflexion poignante sur notre rapport aux changements sociétaux et notre capacité à embrasser ou à rejeter ces évolutions inéluctables.
À l’image des paroles incisives du morceau, les couplets se drapent d’une froideur lancinante, instaurant une douceur presque complaisante. Pourtant, cette quiétude est brutalement interrompue par un refrain puissant tel un un cri de révolte. Cette dualité sonore traduit avec force la tension entre l’apathie et la nécessité d’une réaction face à un monde en perpétuelle mutation.
Cette esthétique troublante fait écho à une voix fragile, témoin d’un monde en bascule. Faut-il céder à ces changements, au risque de devenir une « mouette absurde » à la manière d’un personnage d’Ionesco, ou s’accrocher coûte que coûte à ses convictions ? La question, laissée en suspens, hante le spectateur.
Le résultat de cette alchimie sonore et visuelle est saisissant : une immersion dans un univers en pleine transformation, où les repères se dissolvent. En filigrane, se dessine une critique acerbe des dérives actuelles et de la « fascisation insidieuse » de nos sociétés. Avec « Seagulls », BOPS ouvre un nouveau chapitre, dévoilant une esthétique fragmentée et inquiétante qui laisse présager des directions sonores inédites pour le groupe.
En quelques dates
Après un premier album éponyme en 2017, teinté d’un garage rock à la Ty Segall, et des tournées européennes au format « pizzeria tour », les trois frères Louis, Oscar et Germain Bop ont opéré un virage créatif durant la pandémie. Leur second album, « Sounds of Parade » (2022), marquait l’arrivée de Tom Beaudouin et dévoilait une pop grinçante aux arrangements sophistiqués, puisant dans un éventail d’influences indie anglo-saxonnes.
Forts de leurs expériences sur les routes européennes, où ils n’hésitaient pas à commenter l’actualité sociale dans leurs textes, BOPS revient avec une approche nouvelle. L’urgence créative devient leur méthode : six mois d’écriture intense, sans filtre ni retouches excessives. Armés d’un piano droit, d’une guitare acoustique, d’un Juno, d’un MS20 et de boîtes à rythmes, ils explorent dans leurs nouvelles compositions les dysfonctionnements sociaux, mêlant critique politique et sonorités analogiques avec une pertinence troublante, comme en témoigne l’énigmatique « Seagulls ».

[…] à Tahiti à ses débuts dans la rue, en passant par l’aventure Star Academy et la sortie de son premier EP, il retrace un parcours fait de résilience, d’instinct et de sincérité. Une plongée […]
J’aimeJ’aime